De quelle paix vivons-nous ?

Chères amis et amis ; voici en partage une réflexion/méditation que j’intitule : De quelle paix vivons-nous ?

Être en paix : qui n’aspire pas à cela ? Avoir la boule au ventre : mieux vaut éviter ; n’est-ce pas ? Oui, mais … comment ? Voulons-nous la paix qui vient du monde, ou celle qui vient de Dieu par Jésus et Saint-Esprit qui nous conduit ? Or :

Si nous cherchons la paix DE PAR LE MONDE : Cette paix sera notre labeur, car à peine trouvée, Il y aura toujours quelque chose pour la contrecarrer ; d’où les guerres ! Quant à la paix en notre esprit, qui est notre conscience, si nous agissons comme le monde, notre égo prédominera toujours. Et notre âme, c’est-à-dire en nos sentiments, et en nos pensées, en sera impactée. D’où la recherche émotionnelle formatée par la pensée du monde. C’est ainsi que la paix du monde nous fera peut-être aller dans la mode pour nous rassurer ? Peut-être cette paix nous fera aller dans l’amour physique solitaire soit pour nous détendre, ou par amertume ? Peut-être cette paix-là, nous fera aussi chercher le bien matériel au-delà de nos limites, pour nous donner la paix de notre orgueil ? etc. Mais à peine obtenue, cette paix-là sera son propre écueil. En effet, de par notre corps qui est une puissance de péché, comme par exemple, de par nos hormones, telles que celles du plaisir, appelées : la dopamine, les endorphines, l’ocytocine, et la sérotonine, notre cerveau qui a une mémoire, voudra toujours réactiver l’excitation que lui ont procuré ces hormones. D’où la recherche de la satisfaction de l’instant, qui trouvée peut-être, ne sera qu’éphémère. Car, une fois passée, cette satisfaction qui ne peut durer, sera toujours à la recherche de ce passé, que cette satisfaction a connue. Bref, le présent devient l’esclave de son passé. C’est-là le hic du carpe-diem, qui est une formule latine qui veut dire : « Cueille le jour sans te soucier de quoi demain sera fait ! »

Ainsi, et aussi, est-ce une des raisons que la paix du monde, ne peut nous donner ce bonheur durable, que Dieu seul, peut nous donner. D’autant que nous savons que le diable, fera tout pour que nous soyons toujours dans cette quête de cette paix, selon le monde ! Ne sait-il pas comment nous fonctionnons ? Eh oui, il le sait !

Par contre, si nous cherchons la paix, en la RECEVANT DE DIEU, sa paix est notre bonheur. Car, en cette paix que nous recevons, Saint-Esprit est-là pour nous rappeler que Dieu en, et par son Fils Jésus-Christ, nous a délivré des chaînes de nos péchés et de nos addictions. Et de nos péchés et de nos addictions, nous en avons trop souffert, et nous n’en voulons plus puisque nous vivons de cette paix de Dieu ! « Merci Seigneur. »

Et pour ce qui est de l’amour physique dans un couple, dans la paix de Dieu, il est sublimé par l’amour de Dieu en ces deux personnes ; là est toute la différence. Ce qui fait que nos hormones sont contrôlées par la puissance de Dieu qui est au contrôle de notre corps. Et Saint-Esprit sera-là toujours-là, pour nous rappeler par sa présence, que son amour illumine notre esprit qui en Dieu. C’est ainsi que notre orgueil et notre égoïsme seront contrôlés par l’Esprit de Dieu en notre esprit. Les effets de mode, la recherche de choses matérielles sans en avoir les moyens seront bannies de nos pensées et de nos raisonnements. Dès lors, il n’y a plus en nous ce besoin de paraître aux yeux du monde. Seul notre désir de paraître comme Jésus veut que nous paraissions devant Lui, nous importe.

Voilà ce que nous donne, parmi tant d’autres bonnes grâces de Dieu, cette paix de Dieu. Par cette paix, Dieu Père et Fils par Saint-Esprit, est-là pour nous inciter à bénir, à le louer, le prier, faire cœur à cœur avec Lui, à Lui faire confiance. Car Dieu Céleste Trinité ne veut que notre bien. Voilà ce que fait pour nous et en nous, parmi tant de grâces de Dieu, la Paix de Jésus. Puissions-nous la saisir ! Cette paix de Jésus quand il l’a donnée à ses Apôtres, nous en avons tellement besoin ! Voici pour ce qui est de cette paix, ce qu’a dit Jésus à ses Apôtres :

« Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous la donne pas comme le monde la donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne craignez point. » Ev Jean 14/27.

Oui, puissions-nous la saisir si ce n’est pas encore le cas, car elle s’adresse aussi à nous, et dire : « Boule au ventre, je ne te veux plus ; Jésus t’as prise à la croix du Golgotha. » N’est-ce pas vrai ? Oui, c’est vrai. « Merci Seigneur. A Toi seul, toute la gloire qui t’es due. » Amen. Soyez béni(e)s.

Paix et joie de Jésus ressuscité.

Gilles.

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